Le Mojito 888 FAGUS (N°29) a rejoint maintenant son port d’attache à La Rochelle.

Bertrand et Sylvie ont envoyé au chantier un retour du vécu de leur projet d’acquisition : merci à eux !

Quelques nouvelles de Fagus, notre Mojito 888.
Les vacances sont déjà terminées depuis mi-juillet 😐 et il est temps de vous raconter la genèse de notre projet.

Pourquoi un Mojito 888 (et pas un autre bateau) ?

Il faut dire que 19 années de location nous ont aidées à définir notre programme de nav ainsi que les choix techniques… Nous approchons de la soixantaine grisonnante ( c’est quasi demain🙂) et imperceptiblement, au fil de l’eau et des années, nous avons ressenti le besoin d’avoir un voilier à taille humaine (pour nous) où l’on peut se tenir debout à l’intérieur : quel luxe ! Un bateau pas trop exigeant physiquement dans les déplacements,(les bas haubans sont rentrants : on va vers l’avant sans entrave 👍) et les manœuvres qui sont facilités par la présence du foc autovireur : on économise de l’énergie 💪. Je ne parle pas de la quille qui remonte en appuyant sur un bouton 😀. L’air de rien, le visuel en plexi dans la table du carré permet de voir ou en est le vérin hydraulique 🤓. À propos de vision, la vue panoramique depuis l’intérieur et la luminosité fait des envieux ! Tout ça c’est bien beau mais c’est quand même un investissement. Pour ne pas se louper, nous avons loué un Mojito 888 chez Iloria Bretagne.

Bref, le Mojito 888 réalise la synthèse attendue.

Nous signons en septembre 2019 et effectuons une visite du chantier : indispensable. Nous faisons connaissance avec l’équipe IDBmarine qui affine avec nous notre projet. Nous avons pu suivre la fabrication et la mise à l’eau de Fagus grâce aux 📸 et 🎥 envoyées par Pascal. Malgré la COVID-19 le chantier a bien assuré. Acte de francisation, titre de navigation et assurance en main, le bateau est mis à l’eau 😃 Nous sommes restés une petite semaine à Concarneau, et nous pensons que ce n’est pas de trop pour réceptionner et affiner les derniers réglages. Pour cette ultime étape, nous avons également été super bien accompagné par la team IDB.

Après trois semaines de navigation, nous sommes confortés aussi dans le choix de nos équipements à savoir le panneau solaire intégré dans la capote et le code 0.

Et cerise sur le Mojito, il va vite… Bon vent⛵️

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7 commentaires

  1. Bien d’accord.
    J’ajouterai la facilité d’échouage grâce aux béquilles télescopiques, et la facilité de rangement de l’annexe.
    Marc N (avec un Mojito 888 acheté il y a plus de 4 ans).

    • Voilà une question interessante et qui mériterait presque un Tuto !
      Il est en effet courant d’entendre dire que les voiliers bi-safrans manoeuvrent mal… et c’est vrai que pour nous (idbmarine) c’est une légende urbaine.

      Pourquoi manoeuvrerait-on moins bien en marche arrière avec un bi-safran ?
      La question peut être posée en marche avant car le flux de l’hélice sur un mono-safran influe en effet et peut accentuer la giration du bateau sur babord.
      Mais en marche arrière , le flux de l’hélice étant inversé, il n’y a aucun effet hydrodynamique de ce dernier sur le safran.
      En clair, en marche arrière mono-safran ou bi-safran sont à égalité.

      Et en marche avant ?
      Eh bien là en effet le flux de l’hélice peut influer mais cela est moins sensible sur nos bateaux qui sont légers. Dès que nos bateaux ont de l’erre, ils manoeuvrent dans un mouchoir de poche (surtout quille basse) et un bref passage en marche arrière les stoppe trés rapidement.
      Donc match nul entre les deux versions de safrans.

      Donc au final, et nous le prouvons à tous nos clients, la manoeuvrabilité de nos bateaux au moteur est excellente.

      • Au moteur et avec mon hélice bec de canard, je manœuvre systématiquement en marche arrière dans les situations compliquées voire scabreuses : port encombré, emplacement difficile à atteindre, peu de place pour manœuvrer, vent mal orienté etc. Je réussis en marche arrière des créneaux (je suis parisien !) avec vent de travers m’éloignant du ponton que je ne pourrais jamais faire en marche avant. J’y vois 2 raisons : 1) la totale visibilité non obscurcie par l’étrave, 2) les safrans qui me semblent efficaces à des vitesses en marche arrière plus faibles qu’en marche avant. Est-ce purement psychologique, spécifique au Malango 870 avec ses safrans au tableau arrière ou y-a-t-il une explication cartésienne ?
        Bon vent à tous !
        Amitiés,

        Philippe (Malango 870 Loarwenn)

  2. Fagus dispose d’une hélice « bec de canard » et en marche arrière nous n’hésitons pas à mettre un bon petit coup gaz pour lui donner de l’erre dès que possible.
    Sous voiles, nous avons pris l’habitude de mettre en prise arrière comme ça on n’entend plus l’arbre tourner.

    PS : j’avais oublié, question rangements c’est top car il y a des grands coffres partout.🙂

  3. Bonjour, pourriez vous me renseigner sur le support du moteur d’annexe présent sur Fagus : modèle du commerce ou « sur mesure » , tous ceux du commerce que j’ai trouvé sont trop larges pour le balcon Arr.
    Fxl
    Propriétaire de Mouchac (Mojito 888 n°25)

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Office du Tourisme Concarneau
Region Bretagne